L'actualité au Cameroun tourne invariablement, depuis une dizaine de jours, autour d'ELECAM. Après les partis politiques de l'opposition et la société civile qui ont vigoureusement condamné l'habillage de l'organisme aux couleurs du parti au pouvoir lors de la nomination de ses membres, la presse y est allée de son grain de sel. Elle a d'abord déterré une affaire accusant le président d'Elecam de faux en écriture puis, hier, a affirmé que notre pays avait subi les foudres du Commonwealth. Faux! claironnent en choeur Cameroon Tribune et le Gouvernement aujourd'hui. |